Un cadeau de fin d'année idéal pour les gens que vous n'aimez pas.

Quelques extraits : http://amorfon.com/YM1701.mp3" onclick="window.open(this.href);return false;

BLT a écrit :Un cadeau de fin d'année idéal pour les gens que vous n'aimez pas
On s'est déjà filé quelques coups de main mutuels.oryjen a écrit :On se demande comment il se fait que la maison EMS, toujours debout, ne lui ait pas encore proposé du boulot, une franchise, un agrément officiel...
Heureusement il y a le fer à souder pour me faire manger.Ensuite, la performance sans filet: de nos jours, enregistrer un album entier en impro one shot sans post production relève du suicide culturel.
On a patché et enregistré pendant environ une semaine au total, de façon interrompue car on faisait une tournée en même temps. En fait on découvrait l'engin, l'expérience de nos petits Synthis a facilité l'approche, mais il faudrait bien plus longtemps pour le maîtriser sur le bout des doigts. J'avais terminé la restauration seulement quelques jours avant l'arrivée de Yoshio. C'était aussi une découverte mutuelle, on n'avait jamais joué ensemble avant.D'abord être capable de surfer sur le fil de l'inspiration sur la durée d'un album, c'est pas rien! Faut connaître l'engin sur le bout des doigts! Moi avec mon Monotron, je m'y reprends toujours à plusieurs fois, jugez un peu.
Nous sommes bizarres et loufoques. Peut-être même un peu fondamentalistes sur certains points.Mais disons tout net que de nos jours, prétendre à un objectif musical dans le domaine de la musique électronique sans utiliser l'armada ordinaire du traitement sonore après la prise de son est généralement considéré comme une bizarrerie loufoque et fondamentaliste.
C'était l'idée, rester dans la démarche du "Music from the Synthi" que Yoshio a sorti il y a quelques années, mais celui-là même moi j'ai du mal à l'écouter d'une traite.Enfin, les gaillards se sont même refusé la pommade habituelle de la batterie d'effets: On a là le son pur, droit, sans artifice du monstre légendaire!
Ca y est on va encore se retrouver avec l'étiquette "élitiste".Gageure! Sacrilège! Prétention immodeste! hurleront en choeur les admirateurs décérébrés de Beyoncé et de Lady Gaga.
Ma foi, nous sommes sans doute là en face d'un langage inaccessible aux entendements conditionnés.
Rouge, le bouton.Ce n'est pas grave, qu'ils s'aillent donc repaître de la soupe de déchets gras que l'on déverse sans relâche dans leur auge. Les portes du paradis de la délectation électronique leur restent à jamais fermées. Leur enfer est ici. Il suffit d'appuyer sur un bouton.
On fera une page sur Bandcamp, il y aura sans doute des extraits plus longs.En toute sincérité, les extraits sont si courts! A peine entrevoit-on l'amorce d'un développement qu'on passe déjà à autre chose...
Désolé, j'ai souriBLT a écrit :Yep la taille des matrices est un frein à l'élan spontané, il faut d'abord suivre les lignes avec le doigt pour être sûr de bien viser, et même comme ça il arrive encore qu'on se trompe de trou (merci de ne pas lire cette phrase hors contexte).
Déjà qu'il habite "dans une forêt de pins"...foox a écrit :Si ça se trouve, Beuleuteu est creux en d'dans maintenant, rempli de pins et autres composants extra-humains...