Clairement !LeCCComte a écrit :Et la répétition en est aussi une, qui, bien arrangée, donne l'impression qu'un morceau avance inexorablement.

Clairement !LeCCComte a écrit :Et la répétition en est aussi une, qui, bien arrangée, donne l'impression qu'un morceau avance inexorablement.
Cà par contre, c'est le genre de débat qui m'emm…. profondément, donc comme je me retire du débat laissant la place à celles et ceux à qui cela plaîtplogbidman a écrit :Que cherche quelqu'un qui utilise un séquenceur tout fait au sein d'un système modulaire et pourquoi d'autres auront plutôt tendance à se construire leur séquenceur en patchant des modules ?
Ca dépend vraiment. Ce qui compte c'est toujours le résultatque l'attitude qui consiste à se construire son séquenceur à partir de modules simples est plus en rapport, en communion irais-je jusqu'à dire, avec l'esprit de la synthèse modulaire qui prône de patcher pour arriver à tel ou tel autre résultat. C'est à ce propos que je parle de philosophie.
Oula, pour avoir testé le 250e, tu as du manquer quelques infos sur les fonctionsplogbidman a écrit :Avec Buchla, tu introduis peut-être à ce débat un questionnement sur le rapport qualité/prix.
Parce que le 250e de 16 pas (encore cette malédiction !) vaut quand même dans les... 1700 dollars !
Pour quels réels avantages justifiant ce prix ???
C'est vrai et je vois bien que cela semble plus correspondre à ta philosophie. Fais quand même gaffe aux utilitairesça fait plus "machine à patchs"...
Il n'y a aucune ambiguïté dans ce que je dis...simplement qu'un séquenceur "basique" tel que celui du Easel peut produire des séquences complexes au final. En combinant le séquenceur 5 pas avec le pulser et l'enveloppe, une ou plusieurs sources de CV aléatoire, même sans incorporer l'arpéggiateur, l'on peut obtenir des séquences avec d'infinies variations et/ou d'une grande complexité (Certes pas le même genre de complexité que celle qu'offre un 250e ou un Octopus ou un 54B ou n'importe quelle autre usine à gaz (ou à gas, c'est selonYohda a écrit :C'est avec cette notion que j'ai du mal : c'est peut être du à mon manque d'imagination mais je ne vois pas ce que l'on peut faire d'extremement complexe et/ou avec d'infinies variations en terme de sequence avec un sequencer comme celui du Music Easel. Ou une fois encore le problème provient de l'idée que chacun se fait sur l'emploi de ces termes. (j'insiste sur la sequence elle même, pas les autres parametres qui peuvent être changés d'autres manières ce qui rend le résultat complexe mais ce n'est pas directement lié au sequencer du music easel)Par exemple, le séquenceur du Music Easel est indéniablement un séquenceur simple, certes limité à 5 pas mais qui permet aussi, si on le souhaite, de faire des choses extrèmement complexes et/ou avec d'infinies variations...
Oui c'est vrai, c'est une vision bien plus académique qu'intuitive. Mais, c'est une approche de la composition qui n'est pas dénuée d'intérêt, même pour ceux qui, comme moi, y vont a l'intuition, sans le cadre "rigide" d'une éducation académique. Je ne dis pas que les éléments cités par Todd Barton influencent directement ma façon de composer, mais tout de même, ces notions me restent en tête, de manière plus ou moins consciente, lors de la phase créative. Par contre, mon écoute et l'analyse de mon propre travail en tient compte de manière beaucoup plus évidente.fyvewytches a écrit :Todd Barton est bien entendu beaucoup plus doué que moi, mais je trouve que sa liste de choses qui rendent une composition intéressante est vraiment çà… une liste de cases à cocher. Personnellement il n'y a qu'une chose qui fait que la musique est intéressante ou pas: l'effet sur les émotions de l'écouteur.
Attention, je ne dis pas, surtout pas, détenir la vérité. J'expose juste une démarche. Après, on en pense ce qu'on en veut et elle inspirera des démarches similaires ou pas.baronrouge a écrit :je comprends ta démarche cher plog mais construire son sequencer avec seulement des modules de base n'est non seulement pas moins couteux, mais beaucoup plus délicat à mettre en œuvre pour un résultat parfois capricieux.