j'ai enfin retrouvé l'album Live dont nous parlions plus hautascent a écrit :Tu as vu WXYZ, que sur ce site, il y a un album live de 78 dont tu ne parles pas ?
et deux titres du premier LP " Green Ray " sur la compilation « L'age d'Analogue »
ZANOV
Re: ZANOV
et deux titres du premier LP " Green Ray " sur la compilation « L'age d'Analogue »
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Re: ZANOV
C'est a venir d'après ce que j'en sais et de ce que j'ai pu lire sur le net, cela nécéssite encore pas mal de boulot donc beaucoup de temps, et en parallèle il bosse sur son prochain album.
La patience tu devras apprendre jeune padawan
La patience tu devras apprendre jeune padawan
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Re: ZANOV
Un nouvel album doit sortir début Mai 2016
" OPEN WORLDS "
http://www.zanov.net/index/#sthash.seqfVNX9.dpuf
Interview d' O.Briand pour le PWM :
Bonjour Pierre, tu es connu sous le nom de Zanov et tu as fait trois disques entre 1976 et 1982. Tu nous reviens après une absence de plus de trente ans avec un nouvel opus. Pourquoi une aussi longue pause ?
C’est une histoire étrange, j’avais deux vies. J’étais ingénieur en informatique chez Bull. Dans mon travail on m’appelait « Salka » mais dans le domaine musical
j’avais choisi de me faire appelé « Zanov », ce qui correspond à la seconde partie de mon nom. Après mûre réflexion, à cause de mes responsabilités chez Bull et de contraintes familiales, j’ai décidé d’arrêter la musique car je ne pouvais plus y consacrer le temps nécessaire pour faire les choses correctement. Je me faisais cependant la promesse de reprendre la musique quand j’en aurais la disponibilité. Il se trouve que maintenant je peux me consacrer totalement à la musique.
Ton nouveau disque « Virtual Future » se situe dans la lignée des précédents sur le plan musical comme sur celui du design sonore, quel est la genèse de ce disque alors ?
Après In Course of Time, j’avais commencé un nouveau concept, avec des paroles poétiques composées en même temps que la musique. Je voulais traiter la voixZANOV – The Final Cut au « vocodeur » et je travaillais en même temps sur un synthétiseur vidéo EMS. C’était un concept global. Seulement je n’ai jamais pu terminer le travail au niveau de la voix pour que cela soit à la fois musical et compréhensible. Ce projet s’appelait « Nous reprenons notre avenir ». J’ai toujours eu envie de le faire aboutir et cette année j’ai donc repris les parties musicales en oubliant le texte. Ainsi soixante-quinze pour cent du nouveau disque est issu de ces enregistrements réalisés avec le matériel de l’époque : Korg PS-3300, EMS VCS3, RMI Harmonic synthétiseur, ARP2600. Ayant vendu mon matériel en 1992, j’ai ajouté de nouvelles pistes avec un Arturia Origin que j’ai acquis récemment. Il me permet de sculpter mes sonorités comme avec mon ancien matériel, tout en gardant beaucoup de potentiomètres pour un accès direct et un contrôle des modulations en temps réel.
On peut dire que c’est un disque qui a été commencé en 1980 et qui a été terminé en 2014, trente-quatre ans après sa naissance ! Tu es très content de l’Arturia Origin ?
Oui, je suis satisfait mais ce n’est pas suffisant. Maintenant que Virtual Future est terminé, je vais pouvoir prendre du temps pour trouver d’autres instruments qui me conviennent. A la fin des années quatre-vingt, les synthés sont devenus des sortes de « boîtes à sons » avec un clavier devant. J’aime construire mes sons de A à Z et les faire évoluer, il me faut un accès pour cela et il faut aussi que je trouve des instruments qui me permettent de faire des concerts.
As tu essayé des synthétiseurs virtuels ?
« Ce qui m’intéresse c’est de faire vivre les sons. J’ai besoin d’avoir un accès rapide aux différents paramètres pour piloter les synthétiseurs. Je suis une sorte de « sculpteur sonore » »Non, cela ne me convient pas parce que cela se manipule avec une souris et je ne peux pas travailler comme cela. Il me faut des boutons physiques à toucher, et il m’en faut beaucoup. Ce qui m’intéresse c’est de faire vivre les sons. J’ai besoin d’avoir un accès rapide aux différents paramètres pour piloter les synthétiseurs. Je suis une sorte de « sculpteur sonore ».
Tes musiques me suggèrent toujours un univers futuriste de science fiction, quels sont tes influences dans ce domaine ?
Sur le plan musical alors qu’on m’en prête beaucoup, je n’ai qu’une influence majeur : Tangerine Dream. J’ai commencé le piano à six ans avec un apprentissage classique mais à 17 ans j’étais un peu dégouté du piano, alors j’ai acheté une guitare. Je me sentais cependant très bridé au niveau du son et un jour de 1975 j’ai découvert en Angleterre les synthétiseurs, j’ai immédiatement acheté le VCS3 ! Pour ce qui est de la science-fiction, j’ai effectivement l’esprit très tourné vers le futur.
As tu une anecdote sur l’opportunité que tu as eue de signer ton premier disque chez Polydor ?
J’avais composé Green Ray uniquement au VCS3, sur un quatre pistes, et j’en avais fait des K7 que je donnais à des boutiques de musique. Un jour on m’a appelé.
Aura-t-on la chance d’avoir des ré-éditions en CD de tes trois premiers opus ?
C’est probable, entre autre au Pays Bas des discussions sont en cours.
http://asso-pwm.fr/2014/12/20/interview-zanov/
C'est un bon signe cette éventuelle ré-éditions des trois premiers opus
" OPEN WORLDS "
http://www.zanov.net/index/#sthash.seqfVNX9.dpuf
Interview d' O.Briand pour le PWM :
Bonjour Pierre, tu es connu sous le nom de Zanov et tu as fait trois disques entre 1976 et 1982. Tu nous reviens après une absence de plus de trente ans avec un nouvel opus. Pourquoi une aussi longue pause ?
C’est une histoire étrange, j’avais deux vies. J’étais ingénieur en informatique chez Bull. Dans mon travail on m’appelait « Salka » mais dans le domaine musical
j’avais choisi de me faire appelé « Zanov », ce qui correspond à la seconde partie de mon nom. Après mûre réflexion, à cause de mes responsabilités chez Bull et de contraintes familiales, j’ai décidé d’arrêter la musique car je ne pouvais plus y consacrer le temps nécessaire pour faire les choses correctement. Je me faisais cependant la promesse de reprendre la musique quand j’en aurais la disponibilité. Il se trouve que maintenant je peux me consacrer totalement à la musique.
Ton nouveau disque « Virtual Future » se situe dans la lignée des précédents sur le plan musical comme sur celui du design sonore, quel est la genèse de ce disque alors ?
Après In Course of Time, j’avais commencé un nouveau concept, avec des paroles poétiques composées en même temps que la musique. Je voulais traiter la voixZANOV – The Final Cut au « vocodeur » et je travaillais en même temps sur un synthétiseur vidéo EMS. C’était un concept global. Seulement je n’ai jamais pu terminer le travail au niveau de la voix pour que cela soit à la fois musical et compréhensible. Ce projet s’appelait « Nous reprenons notre avenir ». J’ai toujours eu envie de le faire aboutir et cette année j’ai donc repris les parties musicales en oubliant le texte. Ainsi soixante-quinze pour cent du nouveau disque est issu de ces enregistrements réalisés avec le matériel de l’époque : Korg PS-3300, EMS VCS3, RMI Harmonic synthétiseur, ARP2600. Ayant vendu mon matériel en 1992, j’ai ajouté de nouvelles pistes avec un Arturia Origin que j’ai acquis récemment. Il me permet de sculpter mes sonorités comme avec mon ancien matériel, tout en gardant beaucoup de potentiomètres pour un accès direct et un contrôle des modulations en temps réel.
On peut dire que c’est un disque qui a été commencé en 1980 et qui a été terminé en 2014, trente-quatre ans après sa naissance ! Tu es très content de l’Arturia Origin ?
Oui, je suis satisfait mais ce n’est pas suffisant. Maintenant que Virtual Future est terminé, je vais pouvoir prendre du temps pour trouver d’autres instruments qui me conviennent. A la fin des années quatre-vingt, les synthés sont devenus des sortes de « boîtes à sons » avec un clavier devant. J’aime construire mes sons de A à Z et les faire évoluer, il me faut un accès pour cela et il faut aussi que je trouve des instruments qui me permettent de faire des concerts.
As tu essayé des synthétiseurs virtuels ?
« Ce qui m’intéresse c’est de faire vivre les sons. J’ai besoin d’avoir un accès rapide aux différents paramètres pour piloter les synthétiseurs. Je suis une sorte de « sculpteur sonore » »Non, cela ne me convient pas parce que cela se manipule avec une souris et je ne peux pas travailler comme cela. Il me faut des boutons physiques à toucher, et il m’en faut beaucoup. Ce qui m’intéresse c’est de faire vivre les sons. J’ai besoin d’avoir un accès rapide aux différents paramètres pour piloter les synthétiseurs. Je suis une sorte de « sculpteur sonore ».
Tes musiques me suggèrent toujours un univers futuriste de science fiction, quels sont tes influences dans ce domaine ?
Sur le plan musical alors qu’on m’en prête beaucoup, je n’ai qu’une influence majeur : Tangerine Dream. J’ai commencé le piano à six ans avec un apprentissage classique mais à 17 ans j’étais un peu dégouté du piano, alors j’ai acheté une guitare. Je me sentais cependant très bridé au niveau du son et un jour de 1975 j’ai découvert en Angleterre les synthétiseurs, j’ai immédiatement acheté le VCS3 ! Pour ce qui est de la science-fiction, j’ai effectivement l’esprit très tourné vers le futur.
As tu une anecdote sur l’opportunité que tu as eue de signer ton premier disque chez Polydor ?
J’avais composé Green Ray uniquement au VCS3, sur un quatre pistes, et j’en avais fait des K7 que je donnais à des boutiques de musique. Un jour on m’a appelé.
Aura-t-on la chance d’avoir des ré-éditions en CD de tes trois premiers opus ?
C’est probable, entre autre au Pays Bas des discussions sont en cours.
http://asso-pwm.fr/2014/12/20/interview-zanov/
C'est un bon signe cette éventuelle ré-éditions des trois premiers opus
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Re: ZANOV
Dans les années 70 la France compte quelques musiciens électroniques inventifs, on pense évidemment à Jean Michel Jarre. D'autres pionniers, comme ZANOV, ont un parcours plus discret et tout autant passionnant. Après une pause de plus trente ans, l’artiste présente Open Worlds, son nouvel album.
la suite c'est là bas ;
http://houz-motik.blogspot.fr/2016/07/l ... l?spref=tw
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Re: ZANOV
Je ne savais pas qu'il était dans l'informatique, le big data...
Et dire que j'aurais peut-être pu le rencontrer professionnellement !
Et dire que j'aurais peut-être pu le rencontrer professionnellement !
DSI Tetra, Shruthi-1 SSM, A100, Bass Station 1, Microzwerg, Blofeld, Bass Station 2, Pulse 2, Volca Keys
Re: ZANOV
Performed in one take on Arturia Origin & Virus TI. No overdub, no computer, no sampler.
https://www.youtube.com/watch?v=TM8S8mJp8RQ[/video]
pour ceux qui ont des problèmes avec le lecteur
https://www.youtube.com/watch?v=TM8S8mJp8RQ
https://www.youtube.com/watch?v=TM8S8mJp8RQ[/video]
pour ceux qui ont des problèmes avec le lecteur
https://www.youtube.com/watch?v=TM8S8mJp8RQ
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Re: ZANOV
Pour infos voici enfin le réédition du premier album Green Ray 1976 - 2016 avec un titre inédit
reste plus que son Moebius que j'attends avec impatience
http://www.grooveunlimited.nl/
avec un titre inédit reste plus que son Moebius que j'attends avec impatience
http://www.grooveunlimited.nl/
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Re: ZANOV
interview audio de Zanov sur le site du PWM, il parle de sa façon de sa façon de travailler, les sons, les séquences et des deux synthés qu'il utilise, une belle cuisine sonore
https://asso-pwm.fr/2017/03/24/intervie ... -de-zanov/
https://asso-pwm.fr/2017/03/24/intervie ... -de-zanov/
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Re: ZANOV
L'album Moebius 
est disponible en version CD depuis peu de temps 
http://www.zanov.net/
Offrez vous les trois pour Noël
est disponible en version CD depuis peu de temps http://www.zanov.net/
Offrez vous les trois pour Noël
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Re: ZANOV
Évidement les albums sont disponibles en France sur le site du PWM
https://asso-pwm.fr/shop/zanov/moebius/
https://asso-pwm.fr/shop/zanov/moebius/
Réédition en CD de l’album vinyle Moebius sorti en 1977, avec un titre bonus.
« Cet album prolonge les paysages sonores énigmatiques introduits sur Green Ray avec des nouveaux éléments mélodiques créant une nouvelle expérience sonore immersive. Début 1977, Zanov compose An Zero, utilisant en plus du VCS3 de Green Ray un ARP2600 avec un séquenceur. A la demande du label Polydor, Zanov compose une douzaine de titres plus courts et en retient trois pour l’album, Moebius 256/301 et Enygma. En juin 1977, pour son concert au planétarium, Zanov acquiert un Synthétiseur harmonique RMI, qu’il utilise pour la première fois dans la composition de Plenitude. Ainsi Moebius reflète l’évolution des instruments et de la musique de Zanov sur toute l’année 1977 et le dernier titre Plenitude est une charnière avec l’album qui suivra In Course of Time, mais ceci est une autre histoire. » – Bert Strolenberg
Synthesizers : A.R.P. 2600, E.M.S. VCS 3, R.M.I. Harmonic. Sequencer : A.R.P.
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