yannlu a écrit : ↑03 août 2022, 14:02
En présence du CPU :
Présence de ripple à 100Hz (fréquence max du circuit d'oscillation (tempo max)
/RST CPU : bas avec ripple
/CE1 des RAM : haut avec ripple (OK car haut sur la CR qui fonctionne)
CE2 des RAM : bas avec ripple (normalement haut sur l'autre CR)
Sans CPU:
Pas de ripple
/RST haut
/CE1 des RAM : haut sans ripple
CE2 des RAM : haut sans ripple
J'attends des supports DIP-22 pour les RAM et je ferai l'échange (une par une)

Effectivement, la formulation telle quelle pouvait prêter à confusion.
Ce que j'en avais compris, malgré tout, c'est que c'était la fréquence d'horloge du tempo de la BàR qui était à 100Hz, soit la fréquence max disponible. Ça ne concernait pas celle du ripple, mais seulement son apparition ou non en fonction de la présence du CPU sur la carte.

J'insiste encore un peu plus sur ce truc, mais je me souviens d'une piste coupée au ras d'une pastille qui m'a longuement laissé croire à d'autres origines de panne difficilement explicables et encore plus bizarrement reproductibles. Jusqu'au moment où le fait de ressouder dessus m'a révélé la micro-coupure qui foutait le bordel dans toute la bécane (sur une carte d'extension pour Atari ST ! C'est pas récent...

).

...Quand la micro-coupure est vraiment très fine et que les signaux numériques s'ont d'une fréquence suffisamment élevée, il peut se produire comme une sorte d'effet capacitif suffisant pour laisser passer les pics de tension lors des changements d'état, mais pas les tensions continues, et donc qui laissent certaines pattes de l'IC en l'air, avec le souk que ça peut engendrer.

Si on y rajoute un poil de scoumoune en plus chez le réparateur, et avec la possible déformation du PCB pendant les manips quand on appuie dessus avec les pointes de touche, la microcoupure peut même passer inaperçu quand on effectue les mesures. Sans parler de l'impédance du voltmètre et/ou de la sonde de l'oscilloscope qui peuvent également tromper la mesure de l'état d'une patte d'IC en l'air...
Bon, enfin... Bon courage, les gars !
